À travers un selfie publié, les traces du #bonheur questionne la représentation de soi sur les réseaux sociaux et les traces que nous laissons de nous- même par nos posts.
L’œuvre dénonce les risques de tomber dans la superficialité, la perte de confiance en soi, la constante attente de l’évaluation par les autres, la peur du silence. Le spectateur se déplace entre les posts Instagram suspendus au plafond.
Par le biais de l’animation, il y voit les étapes d’un selfie retouché numériquement et les réactions parfois virulentes qui l’accompagnent.