De nos jours, il n’a jamais été aussi simple de moduler son image. La publicité n’étant pas innocente dans la représentation inconsciente de la femme parfaite et de l'homme idéal, l’arrivée des réseaux sociaux n’a fait qu’accentuer cette pression du «beau».
Dans un monde où la surexposition est devenue la norme et où l’estime de soi est basée sur le nombre de likes, la surenchère est de mise et les limites repoussées.
L’objet de l’œuvre est ici de mettre en exergue le caractère absurde de ce narcissisme virtuel, pourtant socialement accepté.